J ‘ai toujours eu peur.
Peur de manquer de l’argent, peur de ne pas être aimé, peur d’être trop ou peur d’être pas assez. J’ai eu des crises d’angoisses, des crises de panique. Même aller chercher le pain à la boulangerie, à 500 mètres de chez moi, une crise de panique : des tremblements de mains, des sueurs, des bouffées de chaleur, et l’incapacité à respirer, j’étouffais, mon cœur battait très vite. Je sentais que je perdais pied, je perdais le contrôle de moi-même, je me sentais mourir
1) Les crises de panique
Ces crises de panique m’ont fait grandir, m’ont fait comprendre qu’une partie de moi mourait et qu’une autre partie naissait. Ces crises de panique sont violentes comme la naissance et la mort. J’ai vu des médecins, des thérapeutes spécialisés, des sophrologues, des coachs et toujours des crises d’angoisse.
Impossible de me promener seule, d’aller chercher du pain, avec un bon croissant chaud au beurre. Et un jour j’ai décidé, j’ai pris la décision de sortir seule : j’ai fait des petits pas, je voulais vivre car rester chez moi c’était me laisser mourir et ne pas accepter les changements qui s’opéraient en moi : la vie n’était pas tracée par un chemin droit, la vie n’est pas figée, il fallait que je fasse confiance en la vie, accepter les choses que je ne peux pas changer et changer les choses que je peux.
2) Les 5 façons pour appréhender au mieux ses crises d’angoisse :
C’était pas facile, j’ai fait les choses au fur et à mesure et j’ai mis quelques attitudes à adopter quand cette crise arrive :
J’accepte la crise,
Elle vient, et je l’accueille
Je respire et j’inspire : merci à mon smartphone ( l’application Petit Bambou : la cohérence cardiaque)
Je vais mettre me battre avec elle, j’attends qu’elle vienne et elle ne vient pas. Je m’amuse avec elle.
Ce n’est pas grave, c’est pénible, et c’est comme cela.
- J ‘ai toujours eu peur.
Peur de manquer de l’argent, peur de ne pas être aimé, peur d’être trop ou peur d’être pas assez. J’ai eu des crises d’angoisses, des crises de panique. Même aller chercher le pain à la boulangerie, à 500 mètres de chez moi, une crise de panique : des tremblements de mains, des sueurs, des bouffées de chaleur, et l’incapacité à respirer, j’étouffais, mon cœur battait très vite. Je sentais que je perdais pied, je perdais le contrôle de moi-même, je me sentais mourir
1) Les crises de panique :
Ces crises de panique m’ont fait grandir, m’ont fait comprendre qu’une partie de moi mourait et qu’une autre partie naissait. Ces crises de panique sont violentes comme la naissance et la mort. J’ai vu des médecins, des thérapeutes spécialisés, des sophrologues, des coachs et toujours des crises d’angoisse.
Impossible de me promener seule, d’aller chercher du pain, avec un bon croissant chaud au beurre. Et un jour j’ai décidé, j’ai pris la décision de sortir seule : j’ai fait des petits pas, je voulais vivre car rester chez moi c’était me laisser mourir et ne pas accepter les changements qui s’opéraient en moi : la vie n’était pas tracée par un chemin droit, la vie n’est pas figée, il fallait que je fasse confiance en la vie, accepter les choses que je ne peux pas changer et changer les choses que je peux.
2) Les 5 façons pour appréhender au mieux ses crises d’angoisse :
C’était pas facile, j’ai fait les choses au fur et à mesure et j’ai mis quelques attitudes à adopter quand cette crise arrive :
- J’accepte la crise,
- Elle vient, et je l’accueille
- Je respire et j’inspire : merci à mon smartphone ( l’application Petit Bambou : la cohérence cardiaque)
- Je vais mettre me battre avec elle, j’attends qu’elle vienne et elle ne vient pas. Je m’amuse avec elle.
- Ce n’est pas grave, c’est pénible, et c’est comme cela.
Comment ne plus se comparer aux autres
Comment ne plus se comparer aux autres ? Et surtout pourquoi le fait-on ?
Comment vaincre ses peurs et ses angoisses et avancer pas à pas
J ‘ai toujours eu peur. Peur de manquer de l’argent, peur de ne pas être aimé, peur d’être trop ou peur d’être pas assez. J’ai
Etre parfaitement imparfaite
Je ne suis pas parfaite, car je suis tout simplement humaine. Vous connaissez ou peut-être que vous êtes cette femme qui sourit tout le temps
Le pouvoir de l’intention
Connaissez-vous le pouvoir de l’intention ? Au début je ne le connaissais pas, je n’y prêtais même pas attention, pourtant, il est essentiel à notre
Estime de soi : MOVE
Souvent des mes romans, je parle de la confiance en soi, de l’estime de soi. Mes personnages comme Jennyfer et Yasmina ont un rêve :